Top 5 des phrases limitantes à bannir immédiatement

1 – Je n’ai pas les moyens d’acheter ça

Si vous souhaitez acheter quelque chose qui est trop cher pour vous à un moment donné, et que vous vous dites « Je ne peux pas me l’acheter, je n’ai pas les moyens », alors vous ne pourrez probablement jamais l’acheter. Car c’est une phrase affirmative limitante. En la prononçant, vous devenez passif, votre cerveau enregistre l’impossibilité d’acheter, ça devient un fait définitif et vous passez à autre chose.
Il vaut mieux la remplacer par cette formule : « Comment je peux réussir à me payer ça ? », qui est une interrogation ouverte. Cette question entraîne une réflexion, puis une action : trouver les moyens pour acheter ce que je veux.

Source : Père riche, Père Pauvre, de Robert Kiyosaki

2 – Comme un Lundi

En réponse à « Comment ça va ? »

Phrase limitante typique que l’on entend souvent dans les couloirs d’entreprise ou à la pause café du lundi matin, elle est plus lourde de sens qu’il n’y paraît. Lorsqu’on répond « comme un lundi », on sous-entend qu’on n’a pas le moral puisque aujourd’hui c’est la 1ère journée de la semaine, la plus éloignée du sacro-saint weekend, seul répit dans ce quotidien professionnel morose.
Donc quand vous répondez ça, déjà c’est une phrase stérile qui n’engage pas la conversation, mais surtout vous validez inconsciemment un quotidien ennuyeux, vous tuez l’ambition et la motivation en vous. Vous devriez bannir immédiatement cette phrase ou la reprogrammer pour que dorénavant « Comme un lundi » signifie dans votre cerveau « Comme le premier jour d’une semaine ou je suis motivé pour réaliser mes projets ! ».

3 – Oui, mais…

« Je veux investir dans l’immobilier, mais je n’y connais rien», « Je veux ce job, mais d’autres personnes sont sûrement plus qualifiées que moi », « je veux devenir libre financièrement, mais si je quitte mon CDI je peux tout perdre »,…
Le mot « MAIS » annule tout ce qui est dit avant lui dans une phrase, c’est un tueur de rêve.
Il introduit généralement un argument, qui sème le doute en nous. Il est sécurisant car il nous permet d’être « normal », comme tout le monde. Mais en faisant ça, on valide l’inaction en se cachant derrière nos peurs.
Parce que pour réaliser ses rêves, il faut sortir de cette normalité et de sa zone de confort, il faut prendre des risques.

Inspiration : Lee Brown

4 – On m’a dit que…

Cette phrase limitante se termine presque toujours par une généralité sans fondement.

« On m’a dit que l’immobilier était risqué, parce que les locataires ne paient pas toujours leur loyer », « On m’a dit que l’immobilier était bouché dans ma ville », ou « On m’a dit que la Bourse est trop risquée, c’est pour les traders » …

Beaucoup de gens n’osent pas prendre des risques et passer à l’action. Et comme vu au point n°3 il est toujours plus facile et plus rassurant de se cacher derrière de faux arguments, que de se bouger pour atteindre ses objectifs.
Il y a une règle très simple : Si vous écoutez tout le monde, vous faites comme tout le monde, donc vous ne faites rien.

5 – Je ferai ça plus tard

Ici on parle procrastination, ou l’art de reporter tout ce que l’on a à faire au lendemain.
À force de tout reporter, les tâches s’empilent et surchargent l’esprit. À long terme, ça provoque de l’anxiété et paralyse la personne qui ne sait plus par où commencer.
Pas de panique, il est facile de se sortir de cet état, et c’est un ancien champion de la procrastination qui vous le dit, on vous explique tout ici : Comment vaincre la procrastination ?